Le mercenaire

Elle gisait là, sans vie
Alors, j’ai compris
Moi, le chien de guerre
L’homme au cœur de pierre
J’ai pleuré comme un enfant.
Elle n’avait que dix ans
Ses yeux reflétaient la haine
Et toute la détresse humaine
Alors, j’ai séché mes larmes
Repris mon arme
Et vendu mon âme.

(Djibouti, 1977)

gosse
Image en provenance du web

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Date de publication:
Auteur: Dany
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19 Commentaires
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Nous les soldats, avions nous le choix, combattre pour notre pays.. Tristesse infinie que ces guerres et combats, qui ne finissent jamais..

Ce poème très émouvant m’a touchée en plein cœur !

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