
Le cri du peuple
Une seule voix, un seul cri, C’est un peuple en furie, Cette colère qui monte, C’est l’appel à la révolte.
Une seule voix, un seul cri, C’est un peuple en furie, Cette colère qui monte, C’est l’appel à la révolte.
Ils n’ont rien ou si peuLa détresse dans les yeuxPour seule lumière, un giletQuelques lignes en entrefilet On les humilie, on les méprisePour là haut, juste une criseIls survivent en cette macronieUne dictature n’est pas une vie Ils sont jeunes, ils sont vieuxEspèrent juste un petit mieuxIls ne viennent pas …
On les reçoit, on les donne, on les exécute Eux, ce sont les ordres, et moi, je les réfute Ils m’indisposent et me gênent Ne m’inspirent que colère et haine Grrrrrr !!!! Moi, je prône l’anarchie La lutte contre l’ordre établi Pas complétement révolutionnaire Mais un dégout de cet état …
Rouge, est le sangLe sang des partisansLes partisans de la libertéLa liberté des opprimésLes opprimés de la sociétéLa société des grandsRouge, est leur sang Copyright © 2001 [carnet à spirales] Dany – Tous droits réservés À voir également:Première foisMatin d’hiverLes pieds en l’…Citoyen de l’es…L’homme qui s’e…Hirondelle
Le couperet est tombéVous êtes viré!!Et les mots fusentLes mots pleuventGauchiste! Syndicaliste!Combien de fois entenduQu’il ne les compte plusLe petit chef, plein d’hypocrisieAffiche un semblant de sympathieIl n’y est pour rienLe pauvre chérubinSans doute par peur du lendemainLes moutons reprennent le cheminLes conduisant à la bergerieSous l’œil du patron, ravi …
Ils te courtisent, te charment Te traitent comme une dame Promettant monts et merveilles Et toi, jeune pucelle Naïve et sereine Tu te prends pour une reine Allons donc Marianne Tu n’es pas une courtisane Ni une femme perdue Mais une fille de la rue N’écoute pas ces hypocrites …
À tous ces donneurs de leçonsDe tous bords et de tous horizonsCes respectables hommes politiquesQui, d’une fille de la républiqueDe Marianne la pucelleEn ont fait une mère maquerelleBelles images de barbeauxEn chaussures crocoAux comptes bien garnisEt aux ventres rebondisCachant une bien triste réalitéSous une apparente respectabilitéAux odeurs nauséabondesD’une classe immondeAlors, …
La neige, de sa blancheur éphémère Recouvre les toits et les terres, Offrant ainsi la vague apparence D’un havre de paix et de silence De-ci, de-là, quelques monticules Aux pauvres renflements ridicules Cachent sous une couche immaculée Des dizaines de corps mortifiés. Sous les cris tristes et lugubres D’oiseaux …