
A la station du temps qui passe
Elle regarde défiler le train de la vie
Lâchée par ses rêves et ses envies
Sur ce quai, elle se sent bien triste
Et le monde lui semble si égoïste
Elle regarde défiler le train de la vie
Lâchée par ses rêves et ses envies
Sur ce quai, elle se sent bien triste
Et le monde lui semble si égoïste
Dans l’obscurité suffocante de mes nuits
Mon sommeil désespéré, lâchement me fuit
Une porte ouverte sur de terribles angoisses
Souvent, mes pensées vagabondent Comme un ballon sonde À tout moment, à tout instant Magicien sur son tapis volant Voyageant au royaume enchanté Heureux, dans les bras de Morphée Je suis la route des vents Ou, tel un navire dérivant Seul au milieu de l’immensité Comète, dans la nuit étoilée, …