Petites gens
Petites gens, petits riens
Gens de peu, moins que rien
Depuis là haut, les grands nous méprisent
Nous, les sans-culottes, les sans chemises
Le temps des seigneurs est de retour
Nous ne partageons plus la même cour
Si son bouffon, ce pantin agité
Ressemble plus à un âne bâté
Sur son trône le petit roi parade
Notre pays, lentement, se dégrade
Son cœur saigne, ses couleurs palissent
Devant nous, c’est un mur qui se dresse
Petites gens, petits riens
Gens de peu, moins que rien
Devant cet avenir incertain
Prenons en main notre destin

Total : 1180 - Score : 5
Il me semble que vous n’aimez pas beaucoup ce gouvernement, lequel des baudets a votre préférence ?
Bravo jeune-homme, je vous donne le prix d’excellence, rendez-vous dans quelques mois, pour d’autres aventures
Un vieux de la vieille (merci pour cet instant de rire)
Le jeune homme est « un boomer » mais merci quand même, j’ai bien du mal avec ces baudets, quel que soit leurs bords. Merci Marcel.
Vous avez entièrement raison, le petit peuple est méprisé !
Merci d’avoir dit tout haut,ce que nous pensons tout bas.
L’image est-elle plus forte que les mots ?
Merci Dany, ce matin je souris !
« Le poids des mots le choc des photos » (par Roger Thérond en 1976)
Perso, j’aime bien cette photo ! Merci Annie
Nous n’avions rien en poche, et pourtant dans nos mains, brûlait la flamme nue d’un irrésistible demain
Car l’aube se levait, couleur de délivrance,les puissants chancelaient au souffle de nos chants
Demain nous appartient, peuple en pleine naissance, du sang de nos colères jaillira un nouveau jour.
Merci Poète, je suis d’accord avec vous !
« Une seule voix, un seul cri
C’est un peuple en furie
Cette colère qui monte
C’est l’appel à la révolte.
Face à la charge des brigades
Se dressent les barricades. Le cri du peuple »
Merci Jean
Le petit roi se pavane, et lentement la terre où l’on vit se profane.
Notre drapeau s’efface, son sang même s’éteint .
Car devant nous s’élève un rempart de dédain.
Tellement vrai Dany
Un jour ou l’autre le rempart tombera, merci Martine.
Petits haillons, grande colère,on crève le jour, on crie la nuit
On fait trembler leurs vieilles pierres, leur or s’entasse, ils nous dévorent
Nos voix s’élèvent plus haut encore, que rois et maîtres tremblent demain,car l’avenir est dans nos mains.
Merci cher Dany , vous avez réveillé mon esprit révolutionnaire.
Le français n’est-il pas un révolutionnaire dans l’âme, merci Henri.
Le temps des seigneurs revient nous gouverner
Nos cours, jadis communes, se sont fermées
Son bouffon, agité comme un vent d’été
Ne brille guère, juste un âne chargé
Peuple français, réveillons nous.
Dany, je vous accompagne.
« Serrons les rangs, mettons nos forces en commun. Français, Français Notre destin, nous le ferons de nos mains. » ( paroles issues de opéra rock)
Merci Rose
Les hauts se drapent dans leur mépris, les puissants nous écrasent.
Nos vies s’allument à la chandelle, nous les sans dents et sans culottes ,on se contente de presque rien.
Réveillons nous, la colère gronde, vos mots sont dans l’ère du temps, mais pour combien de temps, dégagez moi tout ça.
Merci de ce moment de rébellion, très belle photo, c’est tout à fait ça !
L’avis et le ras-le-bol de beaucoup, merci Lily.
La misère et l’humiliation des « petites gens », réduits à des miettes par les puissants.
Le « petit roi », le « bouffon », le « mur » met en lumière l’injustice sociale, l’oppression mais aussi la solidarité du peuple.
Enfin, l’appel à « reprendre notre destin » donne une note d’espoir et de révolte, merci Dany , on pourrait en faire un hymne révolutionnaire.
Et l’espoir fait vivre, alors croyons en des jours meilleurs, merci Marc.
Petites gens, grand courage, destin en marche.
De la plainte naît la révolte, de la révolte l’avenir.
Merci Dany, des mots qui te ressemblent
Un jour ou l’autre le peuple reprend le pouvoir, merci Flo.