Le mercenaire
Elle gisait là, sans vie
Alors, j’ai compris
Moi, le chien de guerre
L’homme au cœur de pierre
J’ai pleuré comme un enfant.
Elle n’avait que dix ans
Ses yeux reflétaient la haine
Et toute la détresse humaine
Alors, j’ai séché mes larmes
Repris mon arme
Et vendu mon âme.
(Djibouti, 1977)

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